Le manque de crédit, les modestes récoltes prévues pour l'an prochain et le retour des incidents climatiques devraient raviver la tension sur les prix.
Après avoir bondi à des niveaux encore jamais atteints entre mars 2007 et mars 2008, les prix agricoles ont brusquement chuté.
Jusqu’à perdre, pour certaines denrées, 60 %. Selon Michel Portier, le directeur d’Agritel, les acteurs de la filière ont surtout été confrontés à une phénoménale volatilité des cours.
Jusqu’au (...) Lire la suite
(source Usine Nouvelle du 19/02/09 - article par Pascal Coesnon)
jeudi 19 février 2009
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